Compte rendu de l’assemblée générale du 6/01/2004

vendredi 9 janvier 2004
Dernière modification : vendredi 9 janvier 2004

Mais avant, permettez moi un petit commentaire sur la liste CIP-IDF car je viens de relever les compteurs et trouve qu’il se passe quelque chose de pas très jolie. Comme si la polémique sur un certain voyage en Italie
n’avait pas donné les fruits escomptés et qu¹il fallait du coup trouver un nouvel angle d’attaque et que les Oui-oui en fournissaient un beau. Mais peut-être que tout ceci n’est que de l’humour, certes difficile à déceler,
mais humour tout de même. Peut-être est-ce aussi une réelle volonté de déstabiliser. Mais peut-être encore est-ce effectivement une véritable colère qui nous est adressée de façon répétée. Enfin, bref, toujours est-il
que ce soir la cascade de références aux lectures enfantines, mis à part celles de nos Oui-oui, les vrais, m’a donné comme un haut le coeur, façon de sentir qu’il y a une réelle volonté de faire profondément mal. Face à une
telle situation, alors que la lutte est âpre à mener, le sentiment d¹être démuni l’emporte. Seuls, une plongée dans les souvenirs de théâtre tant en acteur qu’en spectateur, les bonheurs de lectures, les plaisirs du cinéma,
des expositions de peinture, les ballades dans les forêts, les heures de
lutte, les rencontres avec les familiers, les amis, le vivre en sommes, sont
oppositions face à pareil méfait. Dire haut et fort que la scène ne supporte
en aucun cas pareille bassesse. D¹ailleurs, aucun lieu de l’univers ne le
supporte non plus. Nous avons une lutte à mener et chacun(e) d’entre nous
qui y participe avec tout ce qui le-la constitue se nomme respect et ami.

Bien, après ce petit moment de morale, religieuse ?, républicaine ?,
imbécile ?, voire d’aucun intérêt, nous pouvons passer à ce pourquoi à près d’une heure du matin un zouave, votre serviteur, tente de formuler intelligiblement les quelques barrissements picorés ça et là, chez nous, 14-16 quai de Charente à partir de 18h20 et jusqu’aux alentours de 21h30, dans cet espace aux murs blancs et à la moquette bleue qu’est le second étage. A ce propos, si tirer au carré l’ensemble des chaises, limite les colonnes de Buren sous les fenêtres de la marionnette ministérielle,
donne dès l’entrée un suave goût de l’ordre, sa pertinence quant à favoriser une rencontre de groupe ayant des airs tirant sur le bordélique n’est pas prouvée. Du coup les individus peuplant l’assemblées deviennent eux-mêmes
tirés au carré, mis à part, bien entendu, les quelques dissonants habituels.
Y remédier pour la prochaine AG en lui redonnant une forme d’ellipse afin de
voir les uns et les autres s’étaler et s’embourber et sentir la vraie odeur d’une AG cipienne dans toute sa splendeur : cris, bruits, fureurs et luttes. De la poésie quoi ! N’allez pas croire, vous les absents, que ce fut morne plaine, faut pas exagérer non plus. Il était tout de même question du retour de la campagne d¹Italie et, c’est pas rien.

Donc, l’intercom de préparation avait vue une tribune se dégager : Deux femmes, deux hommes, balle au centre. L’un à la présidence, l’autre au secrétariat, l’une à la médiation, l’autre au tours de parole. Première grande tirade : Bonne Année de Lutte. Anecdote : Ce matin sur une radio le fion des affaires sociale disait qu’il avait du mal à aller au théâtre en ce moment parce que l’accueil n’est plus ce qu’il était. En fait le fion se croit sous l’ancien régime, il pense normal que celle, celui, accompagné des équipes de la technique, qui sur la scène devraient le divertir le fassent malgré sa signature au bas d’un parchemin protocolaire par lequel celle, celui, toujours accompagné de l’équipe technique, qui sont justement sur la scène se voient à l’aube d’un bannissement, celui de leurs droits sociaux. Il pense le fion, que le spectacle doit continuer, que c’est une coutume dans ce corps de métier. En fait le fion ne se rend pas compte que jouer pour lui revient à jouer pour son bourreau... Une senteur de révolution
rode...Chut, ne l’entravez pas...ouvrez lui les portes, les
fenêtres...laissez son effluve, aller, aller...Mais, revenons à notre AG
prosaïque. Une première vague de calendrier s’abat : mercredi 10 heures
commission musique ; jeudi se veut rencontres à la FEMIS, du moins c’est au
programme... ; vendredi projection, chez nous, quai de Charente, à 18
heures, du film « Des Avancées Considérables », puis AG ; 18/19 janvier Forum-Débats à la coordination ; 21/22 à Nantes rencontres nationales du spectacle vivant ; AG événementielle le 26 janvier ; 31/7 février Festival
du court métrage à Clermont Férand ; 31 janvier Gènes ville européenne de la culture ; projets d¹actions à différents niveaux territoriaux.

Ordre du jour :

-Rome ;
-Clermont ;
-La mobilisation ;
-Appel à donf ;
-Gestion des listes internet ;
-Presses, prises de parole ;
-Comité de suivi de l¹Assemblée Nationale, rendez-vous CGT de préparation ;
-Concert de soutien ;
-New-York ;
-Théâtre de la Ville ;
-Journée porte ouverte.

Avertissement : l’ordre d’apparition ne sera pas celui de traitement...

1er débat, Théâtre de la Ville :

L’espace nous a été retiré sous prétexte que : Le protocole étant passé, il fait force de loi. Donc, plus d’intermittents dans cette noble maison. Aussi nous nous proposons d¹aller vendredi soir, rendez-vous devant le
théâtre à 19 heures, lors de la première de la nouvelle programmation à une vingtaine les mains tracteuses mais pas traqueuses. Est évoqué d’arriver à imposer le couloir de la désinformation, outil créé à Saison en Lutte pour
Nanterre, qui permet d’avoir un matériel qui incarne la lutte et libère le temps pour d’autres actions mais il faut avoir des gens en place pour soutenir pareille initiative, ce qui mène à se poser la question si un
contact a été pris avec l’équipe qui va jouer et sa perception de notre présence. Une réunion avant vendredi se dessine pour caler le tractage et le
lien avec l’équipe qui joue.

2ème débat, Nantes, 21/22 janvier :

Il s’agit des rencontres nationales du spectacle vivant (vivant, c’est pour se le faire croire). Nous sommes officiellement invités, deux mandats avec un seul parlant, pour participer à une table ronde sur "Quel avenir
pour les intermittents du spectacle ; les propositions ; celles des syndicats et des compagnies« . Connaître le nouveau modèle serait un plus, ainsi que le livre édité à la république des idées de Pierre-Michel MENGER »Portrait de l¹artiste en travailleur". Pour ce qui est de huiles, sont annoncés, entre autres : LATARJET, RIVED. Un impromptu signale que le 31 janvier à Malakof, théâtre 71 une rencontre-débat se tient sous les feux de Bernard FÈVRE-D’ARCIER...Ce qui nous commande de nous donner les moyens de la lutte, de prendre contact avec les locaux (entendre la coordination du terroir). Des réunions formations afdas du nouveau protocole (celui proposé
par la CIP-IDF) sont programmées par la commission propositions-revendications au rythme de la quinzaine, la première étant ce jeudi à 18 heures, la suivante jeudi en quinze et ainsi de suite. La préparation de cet évênement se poursuivra en intercom et AG suivantes.

3ème débat, appel pour radio Nova :

Un journaliste de cette station rencontré lors de la sortie à Rome désirant faire une interview de quatre minutes sur Rome et le futur face à la situation de blocage. Une voix qui s’est proposée et acceptée par l’AG sera porteuse du nous que nous sommes.

4ème débat, Concerts de soutien :

Le 29 février le CICP (Centre International de Culture Populaire) propose de nous dédier un concert avec le passage de trois groupes dont la participation est pour l’instant de principe. Deux autres propositions
allant dans le même sens vérifient la faisabilité de coaguler les énergies ensemble ou de les garder séparées afin de créer une redondance qui peut permettre de toucher un plus grand nombre de souteneurs. Il est fait
remarqué qu’au début de la lutte nous combattions les volontés de ce style et que là c’est une première, comme pour se séparer de la volonté de tenir un écart entre la chose artistique et les revendications face à la perte de
nos droits sociaux.

5ème débat, New-York :

Le musicien Marc RIBAUD (peut-être que son nom ne s’écrit pas comme ça...) relaie notre lutte sur la scène New-Yorkaise et dans son syndicat qui est celui historique des musiciens. Il souhaite que nous le soutenions dans
sa volonté de monter un site internet de synergie entre les luttes en Europe ou ailleurs et les artistes américains en tournée et arriver à une entre-aide : soutien de nos actions, utiliser leur notoriété. Ils ont besoin pour trouver des financeurs qu’on leur dise que c’est un beau projet, qu’il nous intéresse. Mise sur le site de leur écrit, puis vote à la prochaine AG.

6ème débat, Rome :

6 personnes étaient déjà en Italie alors que le 29 se précise l’escapade romaine. l’idée (Villa Medici occupata) étant jugée bonne, tout s’organise. Les 6 profiteront de faire le réveillon dans les lieux pour faire des repérages et prétexter plus tard la perte d’une veste dans les coursives ou le jardin. Le premier au matin, ils arrivent à 35 en gare de Rome. Remarque très importante : cette action était de composition Coordination Nationale.
Ils sont entrés dans les lieux comme dans du beurre fondu, les portes étaient ouvertes, les bouteilles jonchaient le sol en compagnie de cotillons du plus bel effet. Durant deux heures ils sont restés seuls à s’installer, faire une AG et construire des commissions. Visite dans la loge du gardien pour l’histoire de la veste, puis le dit gardien réalise que Villa Medici occupata ! Alors il en réfère à la secrétaire générale qui a du mal avec le mot humour et le mot intempestif. Vingt-quatre heures d’apprentissage lui
feront venir des larmes éperdues le long de ses joues pour les grands adieux. Diverses demandes coutumières pour des coordonnants en action, moins pour les autochtones, connaîtrons des fortunes aléatoires dans leur
satisfaction. L’attente de Pet de nonne (le machin qui est patron de ce truc... il y a eu à ce qu’il paraît comme de la chaise musicale entre lui, le nouveau boss de Beaubourg et la marionnette ministérielle...elles sont mignonnes les filles à cet âge-là (non les filles ceci n¹est pas du sexisme mais des histoires de tarlouses...hum !)) se vit en arrière-fond. Pour l’heure le pensionnaire fera l’affaire. Une rencontre avec les pensionanaires sera l’occasion d’échanges fructueux mais brefs, sauf avec celui qui doutait fort de notre lutte et qui se révélera un bel associé. Au fil des heures la surveillance se fait collante et les outils de communication peau de
chagrin. Pet de nonne arrive, fait la leçon à ses petits protégés, et accepte de recevoir deux délégations de quatre individus pensionnaires-coordonnants. Refus car présence de tous est requise. Ca transige par le
tous mais avec quatre interlocuteurs à sa table. Une représentation d’au théâtre ce soir avec Pet de nonne qui n’arrive même pas à faire du sous Pauline Carton. D’ailleurs, le triste petit homme de théâtre gloussera entre deux rangées de policiers italiens un « vous avez perdu » à l’adresse de nos Oui-oui mais il ne se rendra pas compte que par cette geste il virait du statut d’artiste qu’il s’attribut à celui de servile. En fait, même si le
poids policier est là, le grand délire va se vivre dans l’épopée policière par des erreurs de parcours et la fabrication de banderoles, de ballon de foot, et autres agapes amoureuses à même la geôle. Le pensionnaire du doute
sera un temps avec eux dans la nasse puis, libéré, fera assaut des officiels pour la libération des Oui-oui de coordination et leur retour dans le jardin chez nous, quai de Charente. Comme il ne s’agit pas d’une affaire italienne
le temps de la libération arrive et la conférence de presse avec élus de la municipalité et de la nation italienne se tiendra dans un centre commercial,
puis, habitude coordonnante, forum et AG seront sarabandes des droits sociaux. Le retour se fera par une collecte pour la location d¹un car.

Pendant ce temps, le 31 à Paris il y a comme une folie furieuse du côté de la tour Eiffel, les bateaux-bus et le Figaro. D’autres actions foirerons par impossibilité de les actionner. Le coup des ballons gonflés de mots sera
réussi le sur-lendemain à Beaubourg (rassemblement de 16 heures, nous serons
une petite centaine, normal, il faisait froid) au dessus des banderoles Villa Medici occupata et pour une culture sans exception. Les communiqués envoyés d’Italie seront acheminés sur toutes les listes et les agences de presse. D’ailleurs la presse annoncera le blocage de la tour Eiffel, d’un bateau mouche et du Figaro. Il y aura un sujet sur France 2 et 3.

Petit interlude : un court métrage Oui-ouipien à façon est dans les tuyaux et sera visible après l’AG.

La revue de presse italienne est disponible pour être traduite. Garder à l’esprit que ce matin là, 1er janvier 2004, nous avons damné le pion au gouvernement en ouvrant médiatiquement l’année et non lui-même. Les carnets
de routes de Daniel Mermet n’ont pas été utilisés parce qu’en route l’utilité n’a pas trouvé sa conjonction. Mais attention, sur les lieux de travail parce comme un c’est juste une action de plus, d’où devoir concocter des tracts qui annoncent nos objectifs, points de lutte et de mettre
l’accent sur les droits sociaux. Que la Villa Medici Occupata soit signal d’une année de résistance combative, qu’elle soit pied à l¹étriller, flèche lancée, pour accomplir ce qu’on a pas réussi à réaliser. Des maître mots
viennent qualifier l’expédition : expérience humaine ; expérience politique ; on a touché collectivement la question essentielle de cette lutte et nous
avons à transmettre cette richesse acquise à tous ; de l’inscription dans le temps à celle dans l’espace ; pour les italiens notre statut était une perspective, sa chute une ruine des espérances. Un des débat a été
enregistré et trois Oui-oui assurent sa transcription et, une fois fini, nous le feront goûter.

7ème débat, Appel à donf :

Une première mouture de texte circule pour être amendé. Des contacts avec un avocat ont permis de savoir ce qu’il est possible de faire et ce qui ne l’est pas. Réunions mercredi et jeudi à 11 heures, chez nous, quai de
Charente, de la cellule de gestion pour finaliser et proposer le texte à la prochaine AG.

8ème débat, Presse :

Un texte de 8000 signes est à fournir pour l’Huma. France Culture nous sollicite pour une émission où nous devons fournir l’angle d’attaque. Vous imaginez les partenaires sociaux nous demander l’angle d’attaque du
protocole ? Il est remarqué qu’il vaudrait mieux connaître nos perspectives avant de répondre à ces demandes afin d’éviter le saucissonnage.
L’Interluttant lance un appel à articles, dessins et autres pour le prochain numéro. L’idée d¹une réponse aux voeux sous forme d’encart presse de la cfdt est émise. Répondre sur le même terrain chagrine car principe de ne pas payer pour informer. Peut-être qu’un communiqué de presse souhaitant bonne année à tous les recalculés, les intermittents et autres futurs RMAstes, non cités par le syndicat coquin signé de la CIP-IDF avec nos emblèmes "Nos
actions ne connaîtrons pas de pause et ce que nous défendons, nous le défendons pour tous", aura une efficacité redoutable à moindre coût .

9ème débat, Comité de suivi :

Une réunion avec la CGT a eu lieu aujourd’hui pour caler les discours et les revendications. Demain, le matin à 9h30 avec les attachés parlementaires, l’après midi à 16h réunion avec les élus. Une clarification s’est faite sur le fait que travailler sur l’intermittence ne doit pas donner lieu à une pénalisation du travail en poste permanent. Il y a aussi toute la question du champ d’application du nouveau protocole cipien qui refait surface avec notamment les conventions collectives et les
politiques culturelles. Ouvrir à l’interpro nécessite aussi de bien s’approprier l’outil ASSEDIC dans toute son amplitude. Vaste chantier qui pourra donner un corps encore plus vigoureux au nouveau protocole cipien.

10ème débat, Clermont-Ferrand :

Festival international du court-métrage du 30 au 7 février. Y organiser la Coordination Nationale semble tenir la route. Néanmoins un appel insistant est lancé en sa direction de façon à se qu’elle travaille en
direction du festival et non en autarcie sur elle-même. Qu’elle investisse le festival.

Petite improvisation : Un groupe de Milan organise chaque année le premier mai des précaires et nous invite à sa réunion préparatoire le 31 janvier et 1 février. Or ces jours là c’est aussi Gènes et Clermont. Qu’à
cela ne tienne les milanais feront leur réunion à Gènes qui donnera l’avantage de ne plus être dans un dialogue franco-italien mais européen (Ouf, on a réussi à s’extraire de Toni, en v’là une chose qu¹elle est
belle).

Mais avant tout, il se décide d’aller d’abord en repérage à Clermont et de bien déterminer la validité de la logistique sur place pour se lancer dans la préparation de l’évênement. S’assurer aussi de l’inter-région. Y
aller avec trois chapiteaux de compagnie façon les journées de la Sartre. Mobiliser autour des droits sociaux. Expliquer au public le protocole et
celui cipien. Peut-être faire un film sur le cipien (déjà en route)

Deuxième petite improvisation : l’idée d’exporter les deux jours forum-débats à Clermont reçoit une douche froide car importance des activités chez nous, quai de Charente. limiter ces deux jours à 2 ou 3
questions permettra de sentir en amont les possibles pour Clermont.

Il serait bon pour l’heure de diffuser une documentation pour bien comprendre Clermont (le festival). Si sa programmation se fait depuis Clermont ou de Paris. Pour les coûts, voir peut-être avec le fond de soutien
national. Peut-être aussi une excellente rampe pour Cannes. (les Césars, les Victoires, ne peuvent se passer sans nous, les lauréats conviés à ne pas aller chercher leur récompense). Attention aux professionnels de la
profession qui bétonnent eux aussi (la carte professionnelle). Avoir une activité propre (personnelle en tant que coord) sur Clermont. D’alimenter
une inter-professionnalisation. Réunion sur le sujet demain mercredi à 14h chez nous, quai de Charente et pareillement jeudi 18h. La logistique semble la condition car une expérience vécue fait part d’un festival éclaté
dans de multiple lieux et le dernier jour il y a des concerts où les jeunes descendent. Les organisateurs se nomment « Sauve qui peut le Court-métrage ».

11ème débat, les Vraies Assises de la CGT :

Réunion préparatoire le 13 chez eux, 14/16 rue des Lilas en vue d¹un comité de pilotage.

12ème débat, tractage aux ASSEDIC :

Se dessine une récurrence comme les permanence du Théâtre de la Ville, sauf, qu’il s’agit du matin. Le premier a été effectué lundi matin. Le prochain, rendez-vous jeudi 9 heures 30 devant Viq d’Azir. Lui trouver un
rythme, et des tracts généralistes avec des renvois aux séances d’explication à la coordination des protocoles , celui appliqué et le cipien. Au fil du temps, peut-être, une extension de territoire...Dans ce calendrier prendrait place, outre une AG hebdomadaire, un Rassemblement
hebdomadaire qui aurait comme profil de servir de base pour des départs en action, des rencontres avec d’autres luttes, des débats ou autres. Enfin, il est clair qu¹il est important de tracter aux ASSEDIC...à vos mains
baladeuses et gourmandes de palper le tract des familles.

D’autres dates de festival et cérémonies :

-premiers plans à Angers du 16 au 25 février ;
-FIPA 20 au 25 janvier à Biarritz ;
-Les Césars le 21 février ;
-Festival du Réel du 5 au 14 mars.

Prochaine intercom, jeudi 8 à 13 heures. Réunion Internet jeudi 8 à 15
heures, les listes en question. Fin de l’AG. A bientôt - Guy

Adresse originale de l'article : http://www.cip-idf.org/spip.php?article1001