Nous avons besoin de lieux pour habiter le monde

lundi 1er février 2010
Dernière modification : vendredi 6 avril 2012

En ce début de mai 2011, nous déménageons « transitoirement » pour d’exigus locaux de bureaux... Nous ne pouvions accepter, et pourtant, afin de ne pas devoir près de 100 000 euros d’astreinte, de ne pas être expulsés, nous y allons. Et si il y a bien des locaux municipaux vides à Paris, nous n’avons que l« engagement » de la Ville à reloger...

Aidez-nous à faire respecter cet engagement en faisant connaître le texte qui suit. N’hésitez ni à laisser un mot en le signant, ni, si vous êtes disponibles, à envoyer un numéro de téléphone (à accueil@cip-org) afin de recevoir par sms de futurs rendez-vous.

Nous avons besoin de lieux pour habiter le monde
La Coordination doit être relogée.

À l’été 2003, le mouvement des intermittents et précaires s’opposait massivement à une restructuration de l’assurance-chômage instaurant un principe de capitalisation individuelle des droits sociaux. Profondément excluante et inégalitaire, cette contre-réforme visait à détruire le principe de mutualisation des ressources qui, à travers les annexes 8 et 10 de l’UNEDIC, caractérisait jusque-là l’intermittence.

Les intermittents et précaires font grève dans de nombreux festivals (notamment à Avignon), manifestent, s’invitent sur le plateau du JT de France 2, occupent des ministères, le Medef, l’Unedic... C’est dans ce contexte que le 14 quai de Charente est obtenu de la Mairie de Paris en novembre 2003. Dans le prolongement de ce refus initial de l’individualisation et de la concurrence de tous contre tous, cet espace est devenu par la force des choses un point d’appui pour diverses formes d’action, de pensée, d’accueil, de fabrication, un lieu de lutte et de convivialité, hors du circuit marchand.

Il abrite des permanences sociales d’information et de défense des droits auxquelles se sont adressés pour l’heure plus de 3000 intermittents, chômeurs et précaires. Autant de pratiques d’entraide à partir desquelles s’engagent des initiatives collectives face aux institutions (CAF, Pôle emploi) et aux employeurs. Dans un contexte d’insécurité sociale croissante, ces permanences permettent de débloquer des centaines de dossiers litigieux, de faire respecter des droits, d’annuler des « indus » et des radiations. En lien avec d’autres collectifs, la coordination contribue à une campagne d’actions qui vise à enrayer la machine à précariser que constituent la mise en place de Pôle emploi et l’instauration du RSA.

Depuis trois ans, une Université Ouverte centrée sur l’analyse du néolibéralisme s’y invente, ainsi qu’une recherche collective, à laquelle sont associés des chercheurs, sur les mutations et les enjeux de l’intermittence et de la précarité. Des films y sont conçus et réalisés. Il abrite également une cantine, des cours de sport, une bibliothèque, des concerts, des projections, des lectures... Le prix libre et la gratuité sont de principe. De multiples collectifs s’y réunissent, s’y organisent et s’y côtoient"‰ : travailleurs sociaux, féministes et anti patriarcaux, sur le refus de l’enfermement, contre-culturels, de lutte contre le racisme et les discriminations, de résistance à la criminalisation, antifascistes, compagnies de théâtre, revues, media alternatifs...

Alors que les structures syndicales peinent à prendre en compte les besoins et les aspirations d’un précariat en expansion, ce lieu fait figure, mutadis mutandis, de nouvelle Bourse du travail, une maison des précaires - des étudiants aux sans-papiers - où se créent des formes d’auto-organisation. Ce lieu de coopération sociale, politique, culturelle, est aujourd’hui un creuset d’expériences, de pratiques et de rencontres où des transversalités s’inventent quand tout travaille à établir des séparations.

La Mairie de Paris motive l’expulsion de la coordination par l’aménagement de la ZAC Claude Bernard, au coeur d’un gigantesque projet urbain de 200 hectares qui fait la part belle aux bureaux et aux logements privés et « « ‰intermédiaires »‰ », réservés aux classes moyennes et aisées. Après avoir proposé deux solutions de relogement qui ne permettaient pas le maintien a minima des activités existantes, la Ville de Paris assigne la Coordination au tribunal. À l’instar des chômeurs menacés de radiation dès lors qu’ils osent refuser deux « « ‰offres raisonnables d’emploi »‰ », même dans des conditions dégradées et sous-payées, il faudrait, sous la menace d’une expulsion et de lourdes pénalités financières, se montrer, là aussi, raisonnables et accepter des propositions aussi inadéquates qu’impératives.

Dans cette ville de riches où vivent tant de pauvres, la municipalité finance des projets coûteux et de « « ‰prestige »‰ » tels le 104 rue d’Aubervilliers ou la future Halle Pajol. Mais elle n’aurait ni les moyens ni la place de concéder aux intermittents, aux chômeurs et aux précaires des lieux d’organisation et d’activités ouverts à tous ?
Nous savons qu’il n’en est rien et que c’est affaire de décision politique.

Nous nous opposons à la mise à mort de cette expérience de fabrication et de partage. La coordination des intermittents et précaires ne doit pas être expulsée sans un relogement qui permette le maintien et le développement des activités en cours.

Cette

pétition est signable en ligne ici

Merci de signer et de faire circuler.

Nous avons besoin de lieux pour habiter le monde, fichier pdf pour impression et diffusion

Note : l’audience au TGi du 9 mars a été reportée au 11 mai, puis au 29 juin. Les nouvelles de la mairie, à qui nous avons demandé que soit concédée une partie de l’immeuble municipal du 63-65 bd de Charonne (11e) et proposé d’autres lieux possibles de relogement... sont toujours plus négatives. On nous proposera, peut-être, 100M2 de bureaux.... Le délibéré du tribunal d’instance concernant l’expulsion de la coordination des intermittents et précaires sera connu le 17 septembre prochain.

Monsieur le Maire, mon cher Bertrand, /Expulsion de la Coordination des intermittents et précaires ? Inadmissible ! - Synavi / Le SYNDEAC demande au Maire de Paris de sursoir à l’expulsion de CIP-idf) et de rouvrir les négociations / Occupation de la Samaritaine : Paris s’épelle L.V.M.H ? / Menace d’expulsion de la Cip-idf, Delanoë interpellé, la CIP assignée au tribunal

Les signataires

Dazibao de nulle part

Relogement de la coordination : Monsieur le Maire, nous n’avons reçu aucune réponse de votre part...

Menace d’expulsion de la Cip-idf, Delanoë interpellé, la CIP assignée au tribunal

Toile-Libre quai de charente

HNS-info soutient la CIP-IDF menacée d’expulsion par la Mairie de Paris

Le collectif NRV (Nous Restons Vigilant) solidaire de la coordination des intermittents et précaires

La coordination a dû déménager le 5 mai 2011 pour éviter une expulsion et le paiement de près de 100 000 € d’astreinte. Provisoirement installés dans un placard municipal de 68m2, nous vous demandons de contribuer activement à faire respecter l’engagement de relogement pris par la Ville de Paris. Il s’agit dans les temps qui viennent d’imposer un relogement qui permette de maintenir et développer les activités de ce qui fut de fait un centre social parisien alors que le manque de tels espaces politiques se fait cruellement sentir.

Pour contribuer à la suite :

• faites connaître et signer en ligne Nous avons besoin de lieux pour habiter le monde.

• indiquez à accueil cip-idf.org un n° de téléphone afin de recevoir un SMS pour être prévenus lors d’actions pour le relogement ou d’autres échéances importantes.

Nous sommes tous des irréguliers de ce système absurde et mortifère - L’Interluttants n°29, hiver 2008/2009

Pour ne pas se laisser faire, agir collectivement :

Permanence CAP d’accueil et d’information sur le régime d’assurance-chômage des intermittents du spectacle, lundi de 15h à 17h30. Envoyez questions détaillées, remarques, analyses à cap cip-idf.org

Permanences précarité, lundi de 15h à 17h30. Adressez témoignages, analyses, questions à permanenceprecarite cip-idf.org

À la CIP, 13bd de Strasbourg, M° Strasbourg Saint-Denis
Tel 01 40 34 59 74

Pour soutenir la coordination des intermittents et précaires, envoyez vos chèques à l’ordre de AIP. Une attestation peut vous être fournie sur demande.

Parmi les signataires de

Laurent Achard, réalisateur, AC !, agir contre le chômage et la précarité, Alençon Perche, Nantes, Meurthe-et-Moselle, Rennes, Acrimed, action critique media, AdOC, association d’Objecteurs de Croissance, Actuchomage, Alternatives Pour une Nouvelle Économie de l’Emploi (APNÉE), Act Up-Paris, association activiste de lutte contre le VIH/sida, Philippe Aigrain, essayiste, Chantal Akerman, cinéaste, Sandra Alvarez de Toledo, Les éditions L’Arachnéen, Anne Alvaro, comédienne, metteur en scène, Solveig Anspach, cinéaste, APCD, action des précaires et chômeurs de Dordogne, APEIS, association pour l’emploi, l’information et la solidarité, Philippe Artières, historien, Gilles Barbier, artiste, Thierry Baudouin, sociologue, CNRS, Mathieu Bauer, metteur en scène, Thomas Bauer, réalisateur et enseignant (ESBA, Angers), François Bégaudeau, écrivain, Alain Béhar, écrivain et metteur en scène, Beb Deum, graphiste, Miguel Benasayag, philosophe, psychanalyste, Cecilia Bengolea, danseuse-chorégraphe, Bertrand Binoche, philosophe, professeur à Paris 1, Les Blérôts de Ravel, musiciens, Jean Boillot, metteur en scène, directeur du Centre Dramatique National Thionville-Lorraine, Jacques Bonnaffé, comédien, Irène Bonnaud, metteur en scène, Nicolas Bouchaud, comédien, Christophe Boulanger, commissaire d’exposition, conservateur chargé de la collection d’Art brut au L.A.M., Lille Métropole, Benoît Bradel, metteur en scène, Jean Breschand, cinéaste, Julie Brochen, comédienne, metteur en scène, directrice du TNS, Jean-Christophe Brochier, éditeur (Seuil), Alain Brossat, philosophe, Frédéric Brun, président de Mixâges, Rodolphe Burger, musicien, Dominique Cabrera, cinéaste, Nicole Caligaris, écrivain, Olivier Cadiot, écrivain, Laurent Cantet, cinéaste, Cantine collective autogérée de l’université Paris VIII-St Denis, Fulvia Carnevale, artiste, Laurence Chable, comédienne, François Chaignaud, danseur et chorégraphe, Chanson Plus Bifluorée, Boris Charmatz, chorégraphe, Hélène Châtelain, réalisatrice, Anne-James Chaton, écrivain, Sarah Chaumette, comédienne, Yves Chevallier, directeur de l’EPCC du Château de La Roche-Guyon, Sonia Chiambretto, écrivain, CNT Culture Spectacle RP, CNT éducation-93, CNT Supérieur Recherche, Haute Vienne, 9ème collectif de sans-papiers, Collectif Barricata, collectif antifasciste radical, Collectif de chômeurs et précaires de l’Essonne, Collectif de précaires de Tours, Collectif de solidarité avec les inculpés de Vincennes, Collectif Urgence d’Acteurs Culturels, COUAC, Toulouse, Dominique Collignon Morin, comédien, Michèle Collin, sociologue, CNRS, Combien faut-il de féministes, collectif féministe de trans, gouines et pédés, Comité de solidarité avec les peuples du Chiapas en lutte, Coordination 75 des sans papiers, Guy Pierre Couleau,metteur en scène et directeur de la Comédie de l’Est, Centre Dramatique Régional d’Alsace à Colmar, Jean-Louis Coulloc’h, comédien, François Cusset, philosphe, Gilles David, comédien, Guillaume Delaveau, metteur en scène, Sébastien Descoins, monteur, Vincent Dieutre, cinéaste, Claire Diterzi, chanteuse, Bernard-Pierre Donnadieu, comédien, Matthieu Doze, danseur, Valérie Dréville, comédienne, Vincent Dumestre, chef d’orchestre, Gérald Dumont, metteur en scène, Eric Duyckaerts, artiste, EcoRev’, revue critique d’écologie politique, En marche contre l’injustice sociale, collectif brestois, EriKm, musicien, plasticien, ESC Rome, centre social, Bertrand Faivre, producteur de cinéma, Fantazio, musicien, Arlette Farge, historienne, Anne-Marie Faux, cinéaste, Catherine Ferran, comédienne, sociétaire honoraire de la Comédie Française, Caryl Ferey, écrivain, Daniel Fernandez, chanteur, Les Fils de Teuhpu, musiciens, Folies d’Encre, librairie, Alain Fourneau, metteur en scène, directeur des Bernardines, Marseille, Pierre Fourny, metteur en scène groupe Alis, Alain Françon, metteur en scène, Audrey Gaisan, danseuse, Chiara Gallerani, danseuse, Pilippe Garrel, cinéaste, Yves Gaudin, éclairagiste, La Générale Nord-Est, laboratoire de recherches et de créations dans les domaines artistiques, culturels et sociaux, Sylvie Gracia, écrivain et éditrice (éd. du Rouergue), Denis Gheerbrant, cinéaste, Hervé Haine, chanteur, Éric Hazan, écrivain et éditeur (La Fabrique), Régis Hébette, metteur en scène, directeur du théâtre de l’Échangeur, Bagnolet, Jean-Louis Heckel, metteur en scène, directeur artistique de la Nef à Pantin, Judith Henry, comédienne, Rémy Héritier, danseur, chorégraphe, Catherine Hiegel, comédienne, Thomas Hirschhorn, plasticien, HNS-info, hacktivist news service, Michel Husson, économiste, membre du conseil scientifique d’Attac, Emmanuelle Huynh, chorégraphe, Hugues Jallon, éditeur (La Découverte), Yves Jamait, chanteur, Agnès Jaoui, comédienne et cinéaste, Chantal Jaquet, philosophe, professeur à Paris 1, Daniel Jeanneteau, metteur en scène, Laurent Jeanpierre, sociologue, Jeudi noir, Cie Jolie Môme, Théâtre de la Belle Étoile, Saint-Denis, Hervé Joubert-Laurencin, Professeur d’études cinématographiques et Directeur du Centre de Recherches en Arts de l’Université de Picardie, Bernard Joyet, chanteur, Kent, musicien, Maylis de Kerangal, écrivain, Yannick Kergoat, monteur, Cédric Klapisch, cinéaste, André S. Labarthe, cinéaste, Joris Lacoste, écrivain, Mathias Langhoff, metteur en scène, Benoît Lambert, metteur en scène, Joëlle Léandre, musicienne, Johnny Lebigot, co-directeur L’Echangeur/Bagnolet, Catherine Lebrun, secrétaire nationale de l’Union Syndicale Solidaires, Élisabeth Leibovici, critique d’art, Flore Lefèbvre des Noëttes, comédienne, Arnaud Lemarchand, économiste, Université du Havre, David Lescot, écrivain et metteur en scène, Joëlle Losfeld, éditeur, Jean-Baptiste Malartre, comédien, sociétaire de la Comédie Française, Henri Maler, philosophe, maître de conférence à l’Université de Paris 8, Jean-Paul Manganoro, traducteur, Philippe Mangeot, enseignant, Eric Mangion, directeur du centre d’art de la Villa Arson, Nice, M.A.P (Ministère des affaires populaires), musiciens, Valérie Marange, philosophe, Maguy Marin, chorégraphe, directrice du centre chorégraphique de Rilleux-la-Pape, Jean-Charles Massera, écrivain, Xavier Mathieu, chômeur Continental, Frédérique Matonti, professeure de science politique, Université Paris 1, Laurence Mayor, comédienne, Mouvement des Chômeurs et précaires en lutte de Rennes, Daniel Mesguich, metteur en scéne et Directeur du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique (CNSAD), Pierre Meunier, auteur, metteur en scène, Graziella de Michele, chanteuse, Corine Miret, danseuse, Dominik Moll, cinéaste, Frédérique Moreau, scénariste, Yann Moulier-Boutang, économiste, Mouvement des quartiers pour la justice sociale, Valérie Mréjen, écrivain, vidéaste et plasticienne, Revue Multitudes, Mourad Musset, musicien-chanteur, Toni Negri, philosophe, Charlie Nelson, comédien, Alexander Neumann, sociologue, Institut für Sozialforschung de Sarrebruck, Stanislas Nordey, metteur en scène, Charlotte Nordmann, philosophe, Bertrand Ogilvie, philosophe, psychanalyste, Stéphane Olry, comédien, auteur, metteur en scène, Véronique Ovaldé, écrivain et éditrice (Albin Michel), Yves Pagès, éditeur (Verticales), Aline Pailler, productrice à France Culture, Les panthères roses, collectif de gouines trans et pédés féministes et contre l’ordre moral, Célie Pauthe, metteur en scène, L’appel et la pioche, Marc Perrone, musicien, Didier Petit, violoncelliste, Évelyne Perrin, sociologue, Mickaël Phelippeau, danseur chorégraphe, Hervé Pierre, comédien, pensionnaire de la Comédie Française, Philippe Pignarre, éditeur (Les empêcheurs de penser en rond), Jean-François Platet, éditeur (Baleine noire), Mathieu Potte-Bonneville, philosophe, Serge Quadruppani, écrivain, Jacques Rancière, philosophe, Jacques Rebotier, écrivain et metteur en scène, Regarde à vue, collectif vidéo activiste, Judith Revel, philosophe, maître de conférence, Université Paris 1, Suely Rolnik, psychanalyste, La Rue Kétanou, musiciens, Jean-Yves Ruf, metteur en scène, Christophe Ruggia, cinéaste, Valérie de Saint-Do, journaliste, revue Cassandre, Lucia Sagradini-Neumann, sociologue, Stéphane Sanseverino, chanteur, Anne Sauvagnargues, philosophe, ENS Lyon, Sauvons La Recherche, SCALP, section carrément anti-Le Pen, Limoges, Zineb Sedira, artiste contemporaine, René Schérer, philosophe, Yasmine Siblot, sociologue, Frédéric Simon, directeur Le Carreau Scène Nationale Sinsemilia, musiciens, Jean-François Sivadier, metteur en scène, Eyal Sivan, cinéaste, directeur de Recherche University of East London, Joy Sorman, écrivain, Isabelle Stengers, philosophe, Jean-Marie Straub, cinéaste, SUD Culture Solidaires, Fédération SUD étudiant, Sud-Solidaires Pôle emploi, Ile-de-France, Surnatural Orchestra, musiciens, Anne Sylvestre, chanteuse, Syndicat national des arts vivants, Ile-de-France, François Tanguy, metteur en scène, Théâtre du Radeau, Le Mans, Nils Tavernier, réalisateur, comédien, Jean-Pierre Thorn, cinéaste, Toile libre, Camille de Toledo, écrivain, Rémy Toulouse, éditeur (Prairies ordinaires), Loïc Touzé, chorégaphe, Claudia Triozzi, chorégraphe, Éva Truffaut, comédienne, Les Tumultueuses, Union des scénographes, Serge Utgé-Royo, chanteur, Revue Vacarme, Jérôme Vidal, éditeur (Amsterdam) et directeur de publication, Revue Internationale des Livres et des idées, Hélèna Villovitch, écrivain et vidéaste, Jean-Pierre Vincent, metteur en scène, Les Wampas, musiciens, Gérard Watkins, comédien, auteur, metteur en scène, Isabelle Weingarten, comédienne, Laetitia Zaepffel, co-directrice de l’Atelier du plateau, Paris, Radio Zinzine, radio libre en Provence...

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